Madagascar obtient son indépendance le 26 juin 1960 à l'issue d'un processus négocié entre l'élite politique malgache et le gouvernement français, qui avait fait de l'île une colonie 65 ans plus tôt. Madagascar est en effet le pays n’ayant subi aucun conflit majeur à s’être appauvri depuis son indépendance.
Parmi les pays en voie de développement, Madagascar a suivi une trajectoire singulière. Depuis près de soixante ans, l’île n’a cessé de s’appauvrir, et rien ne semble pouvoir inverser cette tendance. Le revenu par habitant est inférieur d’un tiers à ce qu’il était au moment de l’indépendance alors que, dans le même temps, il a été multiplié par trois dans les pays d’Afrique subsaharienne, dont les performances sont pourtant loin d’être étonnants.
Si l’on compare la situation avec celle de pays tels que la Côte d’Ivoire, le Cameroun, le Bénin ou le Burkina Faso, on constate que Madagascar s’est fait distancer économiquement, y compris par ceux qui sont moins riches en ressources naturelles. Cette récession n’est pas continue sur la période ; à de nombreuses reprises, une ébauche de décollage a semblé possible, mais à chaque fois elle s’est soldée par une crise majeure.
La nouvelle technologie peut être l’une des solutions à cette pauvreté ?
Le concept « Nouvelles technologies de l’information et de la communication » (NTIC), est souvent utilisé et compris comme synonyme d’Internet avec tout ce que cela suppose : l’utilisation d’ordinateurs et de divers réseaux de télécommunications permettant de relier les utilisateurs entre eux, et de les relier à l’information.
Certes, les technologies qui supportent et permettent le développement d’Internet sont aujourd’hui au cœur des NTIC mais ces dernières ne se limitent pas à Internet. Le concept de NTIC doit être ici entendu comme recouvrant l’ensemble des outils et techniques résultant de la convergence des télécommunications, de l’informatique et de l’audiovisuel avec comme dénominateur commun l’utilisation de données numériques. Les technologies de l'information et de la télécommunication (TIC) touchent pratiquement tous les aspects de notre vie. Il y a une décennie, sur certaines parties de la planète, leur accès était considéré comme un luxe. Aujourd'hui, il est largement reconnu que pour stimuler les progrès, en particulier, les objectifs de développement durable (ODD), il est nécessaire qu'elles soient accessibles à tous et à un coût abordable. Cependant, on peut dire que Madagascar profite pleinement le TIC surtout dans les grandes villes. En effet, au lieu de voir que c’est juste pour le divertissement, on peut saisir cette occasion à utiliser la technologie pour une meilleur avenir de Madagascar. Effectivement, les STEM sont créé en mélangeant la technologie la science et la mathématique pour une éducation de qualité bien précis.
C’est quoi STEM ?
STEM (acronyme de science, technology, engineering, and mathematics), ou STIM (science, technologie, ingénierie et mathématiques) en français canadien, est un américanisme désignant quatre disciplines : science, technologie, ingénierie et mathématiques. En 2011, selon l’United States National Research Council et le National Science Foundation, ces disciplines sont centrales aux sociétés technologiquement avancées.
Au moment même, d'après les organisations internationales, les STEM et l’innovation jouent un rôle dans l'élimination de la pauvreté et la protection de la planète. Les STEM occupent une place particulière dans les engagements et agendas internationaux, notamment ceux qui sont relatifs à une éducation de qualité inclusive et équitable et à l’apprentissage tout au long de la vie, visant à l’égalité des sexes et à l’autonomisation des femmes. Les objectifs de développement durable convenus par les Nations unies comprennent des cibles spécifiques demandant aux pays de renforcer l’accès à l’éducation aux STEM et aux technologies, et à réduire les disparités entre les sexes.
Certes, Madagascar peut davantage jouir de cette éducation de qualité. L’objectif principale c’est de préparé les futurs leaders scientifiques dès le plus jeune âge. En effet, avec le programme STEM, des futurs ingénieurs sont formés dont ils peuvent créer par eux même des machines industrielles, des robots, des technologies de toutes sortes.
C’est quoi le rapport avec le développement personnel ?
Pour le cas de Madagascar, avant d’imposer toute sorte de changement, il faut une bonne volonté et de motivation. Mais changer de comportement n’est pas une chose facile, cela demande beaucoup de temps. Si une personne demande un changement radical, il faut qu’il médite sur lui-même. Et c’est là que le développement personnel entre en scène.
Toutefois, les bases de la psychologie du développement personnel sont d'abandonner toutes les idées négatives et de les reformuler en pensées positives, c'est une ontologie optimiste et simplificatrice qui est associée au volontarisme. C’est aussi une démarche globale de réflexion sur soi et de valorisation de son potentiel dans le but d’améliorer la qualité de sa vie et de réaliser ses aspirations profondes. Il peut toucher différents aspects de la vie : professionnel, personnel, spirituel, financier, relationnel, familial. Les actions et progrès constatés dans un domaine ont généralement des répercussions positives dans les autres. Toujours est-il que, pour qu’un être humain atteint son objectif, il y a des facteurs qu’il faut combler, d’après Maslow, il a hiérarchisé en cinq étapes les besoins d’un être humain tel que le base de tout, la physiologie (manger, boire, dormir, respirer, etc…), la sécurité (se sentir en sécurité, en confiance, etc…), l’appartenance (créer du lien, être aimé, etc…), l’estime de soi (être reconnu, etc…) et l’accomplissement (réaliser son potentiel, etc…). Voilà, ces besoins sont posés les uns les autres. Théoriquement, réaliser son potentiel apporte de nombreux bienfaits sur l’estime de soi et sur la qualité de vie : savoir s’affirmer, prendre des décisions en adéquation avec ses valeurs, améliorer ses relations avec soi-même comme avec les autres, être plus positif, gagner en autonomie, booster sa créativité et développer un nouveau talent, etc.
Dénouement, Madagascar ou plus clairement, la population malagasy, a besoin d’abord des accompagnements de développement personnelle comme par exemple, une idée qui peut marcher, installer des centres d’accompagnement dans chaque quartier pour que des jeunes sans emplois ou mêmes des adultes soient accompagner et les aidés à réaliser des projets pour améliorer leurs vies au lieu d’attendre des emplois. Et les STEM seraient intégrer dans le programme scolaire. Même si ce n’est que des suggestions ce sont des solutions réalisables.