Les nations unies accueillent les candidatures pour le poste de Haut(e)-Représentant(e) pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral et les petits États insulaires en développement. Le (la) titulaire a rang de secrétaire général(e) adjoint(e) ; le poste est basé à New York, aux États-Unis.
l’Organisation des Nations Unies et, à ce titre, sert de modèle pour ce qui est des valeurs fondamentales
de l’Organisation (intégrité, professionnalisme et respect de la diversité) et des comportements souhaités
selon le modèle de leadership du système des Nations Unies.
des recherches et des consultations que le Secrétaire général aura lui-même menées. En particulier, les
candidatures féminines sont vivement encouragées.
https://www.un.org/sg/en/vacancies/index.shtml au plus tard le mardi, 22 février 2022.
contacté(e)s et soumis(es) à une évaluation ; leurs antécédents et références seront vérifiés, y compris
pour tout ce qui touche au respect des droits humains et aux conflits d’intérêt.
Contexte
développement sans littoral et les petits États insulaires en développement travaille de concert avec les
États Membres, les partenaires de développement, d’autres organismes des Nations Unies ainsi qu’avec
diverses parties prenantes allant de la société civile au secteur privé, en passant par les universités et les
fondations, afin de coordonner et de promouvoir la mise en œuvre de programmes d’action en faveur des pays les moins avancés, des pays en développement sans littoral et des petits États insulaires en
développement dans les domaines économique, social et environnemental, et d’atteindre les cibles
établies dans le cadre des objectifs de développement durable.
(publiée sous la cote ST/SGB/2020/2) sur l’organisation du Bureau du (de la) Haut(e)-Représentant(e)
des Nations Unies pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral et les petits
États insulaires en développement.
Fonctions et responsabilités
Le (la) Haut(e)-Représentant(e) rend compte au Secrétaire général et est membre du Conseil de
direction. Il ou elle est chargé(e) :
- d’assurer la direction, la supervision et la gestion générales du Bureau du Haut(e)-
Représentant(e) pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans
littoral et les petits États insulaires en développement dans l’exécution de ses
mandats et de son programme de travail approuvé ;
- de tenir des consultations de haut niveau avec les États Membres, les organismes des
Nations Unies, les institutions financières multilatérales et les groupes de la société
civile, et d’aider l’Assemblée générale et le Conseil économique et social à évaluer
et mesurer les progrès réalisés dans la mise en œuvre du Programme d’action en
faveur des pays les moins avancés pour la décennie 2011-2020 (Programme d’action
d’Istanbul), du Programme d’action de Vienne en faveur des pays en développement
sans littoral pour la décennie 2014-2024 et des Modalités d’action accélérées des
petits États insulaires en développement (Orientations de Samoa) ;
-Apporter une aide aux préparatifs et au suivi de la cinquième Conférence des
Nations Unies sur les pays les moins avancés, au cours de laquelle les dirigeants de
tous les États Membres de l’Organisation des Nations Unies entreprendront une
évaluation complète de la mise en œuvre du Programme d’action d’Istanbul par les
pays les moins avancés et leurs partenaires de développement ; engager la
communauté internationale à renforcer son appui et son action en faveur des pays les
moins avancés et convenir d’un partenariat renouvelé entre les pays les moins
avancés et leurs partenaires de développement, y compris le secteur privé, la société
civile et les États, à tous les niveaux ; tenir le rôle de Secrétaire général(e) de la
Conférence.
Qualifications et compétences recherchées
Le Secrétaire général recherche une personne :
une vaste expérience de l’action de plaidoyer et l’orientation des politiques, et
ayant fait preuve de leadership intellectuel en matière de développement
durable dans les pays en situation particulière ;
une aptitude avérée à diriger un organisme complexe au personnel constitué
de femmes et d’hommes de cultures différentes et réparti sur plusieurs sites,
ainsi qu’une aptitude à mobiliser diverses formes de soutien des parties
prenantes et des partenaires ;
le changement, à introduire des réformes et à diriger le développement et les
transformations organisationnels ;
multiculturelle et établir de bonnes relations de travail, à l’intérieur comme à
l’extérieur de l’organisme qui l’employait ;
de l’Organisation des Nations Unies et à l’action et aux objectifs du Bureau et
ayant une bonne connaissance du système des Nations Unies.
Connaissances linguistiques :
de l’anglais est exigée. La connaissance d’une autre langue officielle de l’Organisation est un atout.
Vérification des antécédents en matière de respect des droits humains
qu’il (elle) n’a pas commis d’infraction pénale, ni été condamné(e) ou poursuivi(e) pour une telle
infraction, et n’a nullement été impliqué(e), du fait de quelque action ou omission, dans la perpétration
d’actes qui constituent des violations du droit international des droits de l’homme ou du droit
international humanitaire.
Conflits d’intérêts
d’efficacité, de compétence et d’intégrité. Il incombe aux cadres supérieur(e)s, en particulier, de donner
l’exemple pour faire observer les normes de déontologie de l’Organisation.
(de la) fonctionnaire vient nuire à l’exercice de ses fonctions ou compromet son intégrité, son
indépendance et son impartialité. Un risque de conflit d’intérêts peut découler de l’exercice, par le (la)
fonctionnaire, d’une profession ou d’un emploi en dehors de l’Organisation, de sa participation à des
activités extérieures, y compris politiques, de son acceptation de quelque don, distinction honorifique,
décoration, faveur ou rémunération provenant de sources extérieures à l’Organisation, ou de ses
placements financiers. Le (la) fonctionnaire ne peut notamment accepter d’aucun gouvernement ni
distinction honorifique, décoration, faveur ou rémunération ni don quelconques (art. 1.2 j) du Statut du
personnel).
ou supposé. Afin d’éviter toute influence familiale, tout traitement préférentiel ou tout conflit d’intérêts,
réels ou supposés, pouvant découler de telles situations, le Règlement du personnel de l’ONU dispose
que l’Organisation n’engage ni les père et mère, ni les fils, fille, frère ou sœur du (de la) fonctionnaire
(disposition 4.7 a) du Règlement du personnel).
permettra de déceler d’éventuels conflits d’intérêts avant leur recrutement et de prévenir et gérer en
amont, dans la mesure du possible et en temps utile, les situations dans lesquelles leurs intérêts
personnels pourraient entrer en conflit ou sembler en conflit avec ceux de l’Organisation des Nations
Unies, s’ils (si elles) étaient nommé(e)s au poste faisant l’objet de la présente note.
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